Titre : |
Déclaration de Clément Duval aux assises le 11 janvier 1887 « Je suis l'ennemi de la propriété individuelle » |
Type de document : |
texte imprimé |
Editeur : |
Ravage éditions |
Note générale : |
zine |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
ABC DE L'ANARCHISME -- ABC OF ANARCHISM ANARCHISME CONTEMPORAIN -- CONTEMPORARY ANARCHISM
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Mots-clés : |
zine clément duval abc de l'anarchisme anarchisme contemporain Déclaration de Clément Duval aux assises le 11 janvier 1887 « Je suis l'ennemi de la propriété individuelle » |
Résumé : |
Le 12 janvier 1887, le jury de la Seine condamne Clément Duval, un serrurier de 37 ans, à la peine de mort. Membre fondateur du groupe La Panthère des Batignolles, il a cambriolé le 4 octobre 1886 un hôtel particulier de la rue Monceau, y a dérobé pour quinze mille francs d'argenterie et de bijoux avant d'y mettre le feu. Le 17 octobre, les agents de la Sûreté tentent de s'emparer de lui alors qu'il se rend chez un receleur. Au cri d'“au nom de la loi, je vous arrête”, il répond “au nom de la liberté, je te casse la tête!” avant de planter un couteau dans le corps du brigadier Rossignol. C'est donc pour vol, incendie et tentative de meurtre qu'il est condamné à la mort avant que sa peine ne soit commuée le 28 février aux travaux forcés à perpétuité. Dans cette brochure, sa déclaration devant la cour d'assises, le 11 janvier 1887, à l'époque distribuée dans la rue à 50 000 exemplaires. |
Déclaration de Clément Duval aux assises le 11 janvier 1887 « Je suis l'ennemi de la propriété individuelle » [texte imprimé] . - Ravage éditions, [s.d.]. zine Langues : Français ( fre)
Catégories : |
ABC DE L'ANARCHISME -- ABC OF ANARCHISM ANARCHISME CONTEMPORAIN -- CONTEMPORARY ANARCHISM
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Mots-clés : |
zine clément duval abc de l'anarchisme anarchisme contemporain Déclaration de Clément Duval aux assises le 11 janvier 1887 « Je suis l'ennemi de la propriété individuelle » |
Résumé : |
Le 12 janvier 1887, le jury de la Seine condamne Clément Duval, un serrurier de 37 ans, à la peine de mort. Membre fondateur du groupe La Panthère des Batignolles, il a cambriolé le 4 octobre 1886 un hôtel particulier de la rue Monceau, y a dérobé pour quinze mille francs d'argenterie et de bijoux avant d'y mettre le feu. Le 17 octobre, les agents de la Sûreté tentent de s'emparer de lui alors qu'il se rend chez un receleur. Au cri d'“au nom de la loi, je vous arrête”, il répond “au nom de la liberté, je te casse la tête!” avant de planter un couteau dans le corps du brigadier Rossignol. C'est donc pour vol, incendie et tentative de meurtre qu'il est condamné à la mort avant que sa peine ne soit commuée le 28 février aux travaux forcés à perpétuité. Dans cette brochure, sa déclaration devant la cour d'assises, le 11 janvier 1887, à l'époque distribuée dans la rue à 50 000 exemplaires. |
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